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Et si les chats avaient des pouces ?

J’adore la fin de la pub 🙂

La barbe ne fait pas le moine!

Comment savoir si une personne est digne de confiance? Facile, avec sa pilosité faciale!

Voici une graphique bien marrant illustrant si vous pouvez faire confiance à une personne en fonction de sa barbe/moustache/poils/etc.

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Bon ça va, je suis en numéro 3.

PS: ne marche qu’avec les poilus bien sûr … hommes ou femmes 😉

Peut-on jouer nu(e) avec le Kinect ?

Si vous suivez un minimum l’univers les jeux vidéos en général, vous devez être au courant que Microsoft vient de sortir l’accessoire Kinect pour sa console Xbox 360.

En gros, Kinect est composé de 2 caméras et d’un capteur infrarouge ce qui lui permet de détecter les mouvements des corps devant la télévision. Avec Kinect, vous n’avez plus de manettes, votre corps est la manette. Pour fonctionner de manière optimale, le système doit détecter votre morphologie et vos mouvements malgré votre coupe de cheveux, votre taille ou encore vos habits.

Afin de tester cela, la chaine spécialisée dans les jeux vidéo G4TV a réalisé un test bien délirant avec l’actrice de film pour adultes Kirsten Price. Est-ce que le Kinect fonctionne avec un costume de rongeur? Le filtre parental s’active t’il avec une fille nue?

La réponse en images:

PS : pour les plus pervers qui sont frustrés de la mosaïque, essayez de taper le nom de la demoiselle sur internet, je pense que vous verrez largement tout ce qu’il y a à voir! 🙂

Quel type de geek êtes-vous?

Pffiou le temps passe viiiiite et je ne fais plus grand chose de ce côté …

Enfin bon, voici un petit graphique illustrant l’évolution des différents types de geek.

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Difficile d’arriver à se classer dans une seule et unique catégorie à moins d’être un peu extrémiste sur les bords. Il faudrait créer à partir de ce schéma un petit questionnaire afin de déterminer les compositions de notre geek attitude.

Néanmoins pour la part je dirais:

  • 40% Internet Geek
  • 25% Video Game Geek
  • 15% Book Geek
  • 10% Otaku Geek
  • 5% Film Geek
  • 5% StarWars Geek

Et vous?

Ponyo sur la falaise

Qu’est-ce que c’est?

Ponyo sur la falaise est un film d’animation japonais du Studio Ghibli réalisé par Hayao Miyazaki, le maitre incontesté dans ce domaine. Le film est sortie en 2008 et a bénéficié d’une diffusion mondiale.

Ça parle de quoi?

Le petit Sôsuke, cinq ans, habite une maison construite au sommet d’une falaise qui surplombe la mer. Un matin, alors qu’il joue sur la plage en contrebas, il découvre une petite fille poisson piégée dans un pot en verre, qu’il baptise Ponyo. Le petit garçon lui promet de la protéger et de s’occuper d’elle, mais le père de Ponyo, Fujimoto, la force à revenir avec lui dans les profondeurs de l’océan … (Extrait de Wikipédia)

Pourquoi c’est bien?

Comme d’habitude, Miyazaki nous offre une film d’une grande beauté visuelle et philosophique tout en traitant de réels problèmes comme l’attachement émotionnel des personnes ou l’écologie. Le film propose ainsi 2 lectures bien disctintes. Les enfants verront un joli film d’animation sur le rapport entre un petit garçon et son poisson devenu petite fille alors que les adultes remarqueront les différentes relations entre les personnages (la mère et le père de chacun des protagonistes, les grands-mères, etc) et l’impact de l’homme sur la mer.

Pourquoi c’est pas moins bien?

Personnellement, je ne trouve pas de réels défaut au film. Certains pourront toujours trouver ce film un peu trop enfantin avec un scénario à la « Walt Disney » où tout le monde est beau et gentil. Miyazaki nous avait habitué à des prises de position plus « appuyées » (le thème de l’écologie dans Princesse Mononoké ou la sur-consommation dans Le Voyage de Chihiro) et d’autres pourront trouver ce film un peu trop « japonais » et « old school » à l’heure du tout numérique 3D (la scène de la tempête avec les mouvement des vagues est une petite merveille d’animation).

Après, tous les goûts sont dans la nature!

La bande-annonce (en VF désolé, prenez plutôt la VO sous-titrée)

The Pacific

Alors que la France fêtait hier les 70 ans de l’appel du 18 juin du Général De Gaulle, je vous propose aujourd’hui de découvrir une série contemporaine de cet appel  : The Pacific

Histoire

Basé sur les romans de Eugène Sledger (« With the Old Breed: At Peleliu and Okinawa« ) et Robert Leckie (« Helmet for My Pillow« ), The Pacific raconte l’histoire de plusieurs marines américains pendant la campagne du Pacifique, de Guadalcanal jusqu’à Okinawa.

Critique

Plus qu’une simple série de divertissement (utilisé au sens large du terme bien sûr), Steven Spielberg et Tom Hanks, qui ont déjà oeuvrés ensemble sur le film « Saving Private Ryan » et la série « Band of Brothers« , nous livrent une nouvelle fois un véritable devoir de mémoire. Campagne de la Seconde Guerre Mondiale assez peu connue en France, ils nous font découvrir l’horreur des combats du Pacifique à travers les yeux de simple soldats qui s’étaient engagés sans savoir ce qui les attendaient.

Soyons clairs, The Pacific est une série très violente et sanglante; les tirs fusent, les hommes tombent ou se font arrachés des membres et les survivants doivent souvent enjamber les cadavres pour survivre. Malgré tout, c’est violence n’est pas gratuite, la guerre est sale et chaque acte est lourd de conséquence que l’on soit d’un côté ou de l’autre du canon. A ce niveau, nous ne pouvons que féliciter Spielberg et Hanks qui nous propose une vision réaliste de cette guerre trop souvent « allégée » dans des productions plus anciennes. Les « ficelles » de Band of Brother sont ici réutilisées (réalisme, hommes ordinaires plongés dans l’horreur de la guerre, mémoire des survivants …) et cela marche, à nouveau, diablement bien.

Certaines mauvaises langues trouveront peut-être un côté patriotique américain. Pour ma part, je trouve que cet angle est souvent vite abandonné, que les actes de bravoure tournent rarement bien et que les héros préfèrerait souvent ne pas l’être. Quand à la vision uniquement américaine du conflit, je reste moi aussi un petit peu sur ma faim et sur mes questions: « comment les japonais ont-ils perçu ces combats?« , « pourquoi une dévotion allant jusqu’au suicide de masse envers un empereur?« , etc. Le japonais reste majoritairement l’ennemi invisible à haïr. Heureusement, l’avant-dernier épisode (« Okinawa ») redresse un peu ce vision et nous montre l’enfer subit par les civils pris entre les tirs croisés.

Conclusion

On ne sort pas indemne de ce genre de production. « Comment aurais-je réagis?« , « Comment ont-ils pu survivrir et vivre l’après-guerre?« , « Comment peut-on arriver à de telles boucheries?« , « La vie d’un homme avait-elle si peut de valeur à l’époque? » sont autant de questions qui donnent à réfléchir sur notre passé et notre futur.

Une série dure mais au combien émouvante (je ne parle même pas du dernier épisode) à déconseiller tout de même aux plus sensibles.