Vacances à Fuerteventura
La première semaine de mars, ma douce et moi-même avons pris quelques jours de vacances. Pas qu’on soit réellement exténués en ce début d’année mais cela fait plusieurs fois qu’on entendait des gens nous dire : « T’es allé où pendant ces vacances? Moi aux Seychelles! » ainsi que « Ah tiens sinon demain je pars à la réunion …« . A Noël, la goutte a fait déborder le vase (merci Greg 😉 ), il fallait que cela cesse! Nous devions partir!
Notre idée initiale était les Caraïbes, les Maldives, les Seychelles ou n’importe quelle île qui soit loin, avec de la chaleur et des belles filles plages! Bon soyons réaliste: sans partir de Paris, pendant les vacances scolaires et sans budget de 6000 euros, bye bye des Antilles! 🙁
Nous avons donc décidé de rester en Europe et là, BAM! Fuerteventura s’est présentée à nous!
Fuerteventura, c’est quoi? C’est où?
Fuerteventura est la plus vieille île (environ 20 millions d’années) de l’archipel des îles Canaries à environ 100km au large des côtes marocaines. De part sa nature volcanique, sa position géographique et sa topologie, l’île est très aride (aucune source d’eau potable n’existe à l’état naturel) et ventée mais possède toute l’année un climat très agréable qu’on pourrait qualifier de « printanier ». En effet, l’air ambiant oscille entre 20 et 30°C en journée et entre 15 et 20°C la nuit. Du côté des précipitations, rarement plus de 15jours de pluie par an.
Pour plus d’infos sur l’île, vous pouvez consulter Wikipédia ou le site officiel de l’office du tourisme.
Le séjour
Je ne vais pas vous faire un descriptif complet du séjour car il n’y a rien de plus chiant que de regarder 658 diapositives du voyage d’un autre, entrecoupé de « Attends! Attends! La prochaine est super! … ah non … c’est sûrement la suivante! » ou encore « Tu l’as vu le sommet enneigé? Hein? Attends Martine rembobine, Michel regardait dehors …« .
Je ne vous ferais pas un descriptif complet des buffets du petit-déjeuner et du diner pour ensuite me plaindre d’avoir trop mangé et d’avoir grossi; même si au passage ce n’est pas le cas …
Alors non, rien de tout cela! Mais quoi alors? me direz-vous. Et bien, simplement un léger descriptif des lieux qui m’ont plu, accompagné de quelques photos pour agrémenter le tout. Et c’est tout? Mais non mes petits coquins, en guise de conclusion vous aurez le droit à un nouveau florilège des boulettes et lose-times dont j’ai le secret dès que je m’approche d’un aéroport!
En voiture avion, Simoooone!
Sud de l’île (Morro Jable, Jandia Playa, Playa de Sotavento)
Le sud de Fuerteventura est surtout connu pour ses immenses plages. Là-bas aucun souci pour avoir votre petit bout de plage à vous, votre voisin le plus proche est souvent à plus de 50m. De plus ces plages possèdent souvent plusieurs entrées d’eau qui créent des petites rivières temporaires où l’eau est bien plus chaude.
Côté villes, rien de très merveilleux, surtout des villes balnéaires avec empilement d’immeubles. A noter que le sud est quasiment rempli d’allemands!
Nord de l’île (Corralejo, El Cotillo)
Le Nord de l’île peut se diviser en 2 parties. A l’est, le Parc Naturel de Corralejo est un vaste champ de dune de sable: on se croirait au Sahara (cette partie de l’île nous rappelle que nous ne sommes qu’à 100km des côtes marocaines). Le jour où nous avons visité cette partie, le vent souffle plutôt fort et résultat, des pelles mécaniques étaient occupées à dégager le sable qui formait des congères au bord de la route.
A l’ouest (du nord, si vous me suivez toujours …), les dunes font place à des falaises et des petites criques. Ce qui marque les esprits est le contraste des environnements: l’océan prend des tons turquoises, la sable est presque blanc et les roches complètement noirs.
Centre de l’île (Betancuria, Pozo Negro)
Après avoir parcouru le sud et le nord le l’île, le centre nous est apparu comme une bouffée de verdure en comparaison (alors que ce n’est pas vraiment la jungle!). Région assez montagneuse, le centre est peu comme un circuit pittoresque entre les vieilles villes de l’île et les quelques cols qu’il faut passer pour les atteindre. Le Mirador de Morro Velosa est tellement à pic qu’on a l’impression de survoler l’île.
A l’est (du centre, allez un petit effort …), la vallée de Pozo Negro est recouverte d’une ancienne coulée de lave. Au milieu, un ancien village dont les maisons sont un empilement de roches volcanique est visitable.
Lanzarote
Lanzarote n’est pas un lieu de Fuerteventura mais l’île située au nord de cette dernière à environ 15min de ferry. L’île de Lanzarote présente deux particularités. Premièrement, c’est l’île de l’archipel où l’activité volcanique est la plus visible. En effet, de 1730 à 1736, le Timanfaya entra en éruption et recouvrit de lave un quart de l’île. Actuellement, cette zone fait partie du Parc National de Timanfaya. Deuxièmement, l’île possède une conscience écologique très avancée, initié dans les années 1970 par l’artiste César Manrique. Ce dernier travaillera le reste de sa vie pour l’île en façonnant des « attractions » naturelles telles que le restaurant du Timanfaya « El Diablo » ou encore « Jameos Del Agua ». A noter que pour préserver sa nature, l’île possède quelques lois inédites comme l’interdiction d’afficher des panneaux publicitaires ou de construire des bâtiments de plus de 4 étages!
« Jameos Del Agua » sont des bulles/conduits de lave vieux de 3000 ans et façonnés par César Manrique. On entre donc par une bulle (en gros, une sorte de grotte où la lave s’accumulait) et on passe à la suivante en passant pas un conduit (comme la bulle mais en long). Sur une photo, on voit de l’eau avec des points blanc au fond, en fait ce sont de minuscules écrevisses aveugles et dépigmentées à force de rester sous terre. Cette espèce est unique. Dans la second bulle, Manrique a créé un lagon artificiel et enfin, un dernier conduit contient une salle de spectacle.
Comme dit plus haut, le Parc Naturel du Timanfaya est l’un des quatorze parcs naturels d’Espagne. 51km2 de lave refroidi où la végétation commence seulement à réapparaitre, plus de 270ans après les dernières grandes éruptions volcaniques.
Le parc se décompose en 2 partie: la première partie vous emmène jusqu’au restaurant « El Diablo ». Ce restaurant, dessiné par César Manrique, est construit sur une cheminée volcanique et utilise cette dernière comme grill (à 3m de profondeur, la température avoisine les 500°C!). A l’extérieur du restaurant, 3 activités sont proposées aux visiteurs:
- On vous demande de tendre le main devant vous paume vers le ciel, puis une personne du parc ramasse un pelle de « gravier » volcanique, vient en déposer un petit tas dans la main de chaque visiteur et vous demande de serrer le poing. Évidemment cela n’est pas possible très longtemps étant donné que le « gravier » est très chaud.
- A l’aide d’une fourche, une personne du parc enfonce des branchages dans un trou à 1m50 de profondeur. Au bout de quelques secondes de la fumée blanche s’élève puis tout s’embrase assez rapidement.
- Enfin, une personne du parc verse le contenu d’un seau d’eau dans un tuyau enfoncé verticalement dans le sol. Au bout de 2 secondes, l’eau est éjectée violemment du sol sous forme d’un geyser de vapeur d’environ 3-4 mètres.
A partir du restaurant commence la seconde partie; vous devez emprunter un bus pour effectuer un circuit au sein du parc d’une trentaine de minutes. Les voitures et les sorties de bus ne sont pas autorisées sur le circuit afin de préserver au maximum cet espace unique au monde. Heureusement, le bus effectue de nombreux arrêts stratégiques pour que les passagers puissent prendre des photos … derrière les vitres … (trêve de plaisanterie, la beauté du lieu vaut largement cette protection).
L’hôtel
Hop hop mode ninja pour parler vite-fait de l’hôtel! Hôtel vraiment classe avec grand chambre, petite terrasse, 2 piscines (+jacuzzi), un jardin luxuriant (merci l’arrosage intensif la nuit) et la plage à moins de 50m : que demander de plus?
J’ajouterai enfin que nous avions loué une voiture pour la semaine et avons parcouru quelques 650 kilomètres en 3 jours! Côté essence, on est vraiment loin des tarifs européens : 26euros le plein de SP95!
Les boulettes / lose-times
Que serait un voyage sans ces petits moments où l’on se sent bien loin de sa maison … Bon soyons réaliste, ce n’est pas toujours de bons moments sur l’instant mais qu’est ce qu’on en rit après! 🙂
Notre vol pour Fuerteventura partait à 5h20 et nous devions nous présenter à 3h20 au comptoir Fram de l’aéroport pour récupérer nos billets. Étant donné que Toulouse n’est pas vraiment à côté et que nous n’avons pas une grosse cylindré, nous sommes partis de chez nous vers 0h30. La route se passe bien, temps dégagé, bonne visibilité et quasiment partout. A environ 70km de Toulouse, nous arrivons au péage. Tiens c’est bizarre toutes les lumières sont rouges et des voitures/camions sont arrêtés … On s’arrête à notre tour derrière un camion et une employé de l’autoroute arrive en courant à notre hauteur : « Bonjour, nous avons fermés l’autoroute car on nous a signalé une voiture à contre-sens … la gendarmerie est partie à sa recherche …« . Bon ok, heureusement qu’on avait un peu d’avance! On attend 10min, rien ne semble bouger. Au bout d’un moment, un autre automobiliste un peu plus curieux nous rapporte qu’on lui a annoncé que cela pouvait durer 30min voire plus d’une heure … On reste calme, de tout façon on ne peut même sortir par une bretelle sans nous-mêmes partir à contre-sens … Finalement, au bout de 15min, nous repartons. Le caissier du péage nous annonce en passage : « Faites attention, ils ont pas trouvé la voiture à contre-sens, il a dû s’en rendre compte et faire demi-tour!« . Ça va, c’est rassurant!
* * *
On arrive finalement à l’aéroport dans les temps, heureusement qu’on avait de l’avance. 3h30 passé, nous récupérons nos billets, déposons nos bagages et allons au contrôle des bagages à main. L’avion part à 5h20 mais le contrôle bagage n’ouvre qu’à 5h, nous rebroussons donc chemin.
5h00 arrive, nous partons au contrôle, étrangement nous sommes les premiers et les seuls mais je ne m’inquiète pas plus que ça … jusqu’à ce que le chef du contrôle vérifie nos billes et nous annonce que nous ne sommes pas du tout au bon endroit! L’embarquement de notre avion est beaucoup plus loin et à déjà commencé depuis plusieurs minutes! Nous partons donc en courant à travers les couloirs pour arriver devant le comptoir : « Vous étiez vous? » nous lance l’hôtesse en récupérant nos passeport. « Dépêchez-vous, le bus vous attend!« , nous descendons les escaliers en quatrième vitesse, nous montons dans le bus, les portes se ferment, c’est tout juste à nouveau!
* * *
Le vol se passe bien dans l’ensemble, nous arrivons même à dormir une petite heure avant le lever du soleil. Le vol fait escale à Tenerife (une autre île) afin de laisser des personnes pour une semaine et récupérer ceux qui finissent leurs vacances. Le vol Tenerife-Fuerteventua dure ensuite entre 30 et 45 minutes et malgré l’alerte au vent, le vol se déroule sans souci … sauf que deux gamins (qui nous appellerons Jean et Jeanne pour protéger leur identité) n’arrêtent pas de s’exciter mutuellement juste derrière nous. Ça saute sur les sièges, ça se tire les cheveux, ça couine : bref, un vrai bonheur!
– Merci d’attacher vos ceintures, nous allons entamer notre descente sur Fuerteventura
– Maman, je crois que « Jean » se sent pas bien …
– Maman! « Jean » vient de vomir sur son sac!!! On voit des bouts de pâté …
N’attendant pas notre reste, nous essayons de retirer nos vêtements de la zone sinistrée car forcément le c*n ne pouvait pas vomir en face de lui, non non, il a décidé de faire ça en diagonale, histoire de nous offrir une meilleure vue de son méfait …
Je continue donc à essayer de tirer ma veste en jetant un petit coup d’oeil en arrière quand notre « ami » « Jean », qui apparemment venait de manger un biscuit, a décidé d’avoir une petite quinte de toux! Allez hop, volé de postillons de vomi!
Bon alors là le plus dur est de garder son sérieux tout en priant l’avion d’atterrir le plus vite possible car le vomi ça sent assez rapidement! Je crois que je n’ai jamais été aussi heureux de quitter un avion tout en ayant une petite pensée pour les voyageurs qui allaient continuer leur vol jusqu’à Toulouse avec « Jean », son vomi et son odeur! Le vol dure 3h …
* * *
En milieu de semaine, nous décidons d’aller visiter « vite-fait » la maison des Colonels (« Casa de los Coroneles ») à La Oliva en fin de journée vers 18h00. C’est une vieille bâtisse avec une cour intérieure et un palmier, jolie mais pas bouleversant non plus. On entre, on fait 2-3 photos et on va aux toilettes. Là, je constate que c’est plutôt joli avec des vieilles moulures assez bien intégrées aux commodités plus moderne. Je prend un peu mon temps sans y passer 15 minutes et je ressors. « Tiens la nana qui semblait garder le lieu n’est plus à son bureau … tiens, c’était éteint ce couloir tout à l’heure? … hey! mais la grande porte est fermé là! On m’a enfermé à l’intérieur!« . Je me précipite à la porte, la porte s’ouvre, la gardienne n’attendait plus que moi pour fermé … Je sors du bâtiment, Magali est explosé de rire, je suis écarlate …
* * *
La semaine s’est finalement déroulé sans problème. Notre vol de retour étant à 10h30 le matin, une navette devait venir nous chercher à 8h20 devant notre hôtel. 8h10, nous fermons la porte de notre chambre et nous nous dirigeons vers l’accueil. Là, au milieu du hall, nous apercevons un chauffeur de bus qui tourne en rond. Dès qu’il nous voit, ce dernier nous fait un petit signe de la tête et part vers le bus d’un pas pressé. Nous rendons notre clé de chambre et nous partons vers le bus. Zip zap! Nos bagages sont envoyées en soute et nous sommes poussés dans le bus.
– Tu as quelle heure?
– 8h15 … il est un peu pressé … c’est bon on avait le temps …
– Les autres personnes étaient pas mal en avance finalement …
Ma montre retardait : il était pas 8h15 mais presque 8h25 …
* * *
On arrive à l’aéroport, on récupère nos billets et on laisse nos bagages en soute. On passe les contrôles et on flemmarde aux boutiques de duty-free pendant une petite demi-heure. 30min avant l’embarquement, nous décidons de nous diriger vers la porte d’embarquement. Presque machinalement, je tâte ma poche arrière de pantalon: mon passeport est là, mon billet d’avion …… n’est pas là! Bon c’est super, les emmerdes recommencent! Je cherche autour de moi: rien. On essaye de repasser devant les boutiques mais c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Finalement, on décide de repartir en arrière pour retourner au guichet. On arrive devant un agent de la Guarda Civil, on lui demande s’il parle anglais: à peine … « I lost my boarding card …« . C’est bon il a compris et nous emmène vers une personne de la compagnie. La suite s’est plutôt bien déroulée, les employées de la compagnie ont été très efficaces et le fait d’avoir un second billet « non perdu » a grandement accéléré le duplicata de mon billet.
Alalala … moi et les aéroports, une grande histoire!
Conclusion
Fuerteventura est une destination que je recommande à tout ceux qui souhaitent un dépaysement complet. Des décors de toutes les couleurs, des montagnes noires aux eaux turquoises, en passant pas les dunes de sable blanc, chaque nouvel environnement est intense. La température étant constante et supérieure à 20°C toute l’année, c’est une excellente destination pour l’automne, le printemps et surtout l’hiver. Prévoyez même de la crème solaire car le soleil en direct et très très chaud. Enfin, louez une voiture pour profitez un maximum de ces grandes étendues, d’autant plus les routes sont excellentes.
Seul bémol, la sortie de l’avion à Toulouse et le retour à des températures inférieures à 10°C : on se croyait en été là-bas …
Je n’ai pas tout lu ni tout vu mais j’ai bien kiffé les photos.
Les îles avaient l’air super et ça donne de bonnes idées de vacances!
Petite note moi j’aime bien les petites cartes google map où on peut mieux localiser les lieux. Mais ça prend plus de temps c’est sur!
http://www.nolimit-prod.net/frisco
Pas faux pour les Google Maps, j’y penserai la prochaine fois!
Moi j’ai tout lu et je te félicite pour ton humour…
Je suis déjà aller à Fuerteventura en septembre 2008 et j’en garde un EXCELLENT souvenir : plages magnifiques, eau superbe et chaude, paysages lunaires, bref tout ce que j’aime. Je compte y retourner mais cette fois au mois de mai. Sur tes photos (on dirait les miennes !) je n’ai vu personne dans l’eau ! Elle était fraîche à cette saison ? En septembre c’était le pied côté température…
Personnellement, je suis très (trop?) frileux donc difficile pour moi de passer le cap du bassin dans de l’eau inférieur à 22°C.
Au début du mois de mars la température de l’eau oscillait autour de 17-18°C donc trop peu pour ma personne mais j’ai vu quand même plusieurs vacanciers (surtout des allemands j’ai l’impression) qui se baignaient à Jandia. Si tu n’es pas trop frileux, cela ne devrait pas poser trop de problème!
J’ai lu avec beaucoup d’attention cet article (et je me suis bien marrée aussi!)
Serait-il possible d’avoir quelques détails car je prépare actuellement un petit voyage pour nos 8 ans de mariage et je suis face à pas mal d’interrogations: dans quelle zone de l’île loger? (un hôtel particulier à conseiller? ou bien changer en cours de séjour?) quelle formule privilégier? (demi-pension?).. et sans doute quelques conseils auxquels je ne pense peut être pas!
1000 mercis d’avance, bien cordialement, Anne
Bonjour Anne,
Personnellement, nous sommes passés par Fram Voyages et nous n’avons pas été déçus. Nous étions logés dans un superbe hôtel tout neuf situé sur la côte Est de l’île (vue Google Maps) avec plage à 50m et piscine (même si nous n’y sommes allés qu’une fois, ça fait très chic). Concernant les 2 autres zones hôtelières: celle du Nord (Corraléjo) est beaucoup moins récente et celle du Sud (Costa Calma) est envahie par les allemands!
Côté pension, nous avions opté pour la demi-pension. Gros petit déjeuner, un petit pic-nique le midi (avec les fruits et les biscuits chapardés au buffet!) et repas le soir. Cela permet de vraiment profiter des journées sachant que l’île n’est pas si petite que ça à cause des routes tortueuses! A ce sujet, je conseille très fortement la location de voiture (directement sur place, il y a beaucoup de boutiques de locations) car à pied/bus on ne peut quasiment rien faire et en plus l’essence n’est vraiment pas chère.
Voilà, je reste à disposition pour toutes les questions pratiques, ce n’est pas toujours facile de trouver des réponses sur internet ou dans les guides 😉
Merci Tafou pour tous ces conseils et le temps passé à me répondre!
J’hésitais entre une formule tout compris « vol+séjour » et un vol discount pour ensuite se débrouiller sur place au niveau des hôtels et du reste… à la fois pour les économies et pour le coté liberté, quitte à changer d’hôtel en court de vacances pour découvrir un autre coin. Je pense après coup passer par une agence donc (il y a d’ailleurs des formules tout inclus sur voyageprivé.com ou ce genre de site… mais est-ce fiable? that is the question)
Et j’ai aussi encore une petite question (dsl si j’abuse…): est-ce que janvier-février est un bon moment pour partir ou vaut-il mieux éviter? Quelle est la meilleure période?
Ah, et en fait, j’ai 2 questions: Avez-vous fait de la plongée sur place? Est-ce possible et facile?
1000 mercis d’avance, cordialement, Anne
(ce message est un copié-collé d’un mail… sans doute mal envoyé de ma part, dsl s’il est doublon!)
Je ne connais pas assez pour te dire quelle formule est la meilleur mais il y a beaucoup de grand hôtel et je ne suis pas sûr qu’ils prennent des clients « sur le vif », à voir …
Sinon côté temps, Fuerteventura a un climat assez stable type « printemps toute l’année ». Nous avons eu des pointes à 27-30°C fin février et qu’un seul jour de pluie après le temps change assez vite à cause des courants marins et du manque de montagne. D’après ce que nous avons entendu, la meilleur période est le printemps entre Avril et Juin.
Niveau plongé, je ne peux pas d’aider mais par contre il y a énormément de surfeurs donc attention la tête 🙂
Merci pour tes précieux conseils!…
Je viens de me lancer avec Promovacances: offre d’une semaine début avril. Je suis comme une balle!
Pour les activités sportives, on improvisera sur place: location vélo et plongée si c’est possible…
Reste plus qu’à caser tous les enfants!!
Et encore un grand merci pour le temps consacré à me donner ces renseignements!
merci de me dire l’on trouve des parkings gratuits, l’hôtel à Antigua n’en possède pas
Coucou, j’ai bien constaté que ce blog date mais en naviguant pour trouver quelques infos sur Fuerte j’ai eu l’agréable surprise de te lire! Et j’aimerais t’embêter un tout petit peu…Dis moi je compte donc aller a Fuerte fin mai avec une copine le hic c’est que je ne sais pas où prendre l’Hotel…Bon Ok j’ai bien compris le délire Corralejo et les plages du Sud en mode Allemands et justement j’aimerais savoir selon toi est-ce que ça peut être sympa de se poser sur la côte est ou bien plus l’ouest? Merci d’avance!
Nous souhaiterons séjourner pendant une semaine à partir du 5 ou 6 mai.
Après lecture des endroits nous souhaitons séjourner avec nos critères suivants:
Endroit : jandia plage ou costa calma
hôtel (taille humaine 200 chambres maxi) chambre avec balcon ou terrasse
Merci de nous indiquer un séjour correspondant à nos critères en demi pension.
Alain